Camille
« J’aime penser que la lune est là même si je ne la regarde pas... » Albert Einstein
| AGE PHYSIQUEMENT : 18 ans ORIENTATION SEXUELLE : Euh... Oulà... Au feeling ? CAMP : Celui du Comte... NIVEAU : Trois~ NOM DE L'ÂME : Camille, nom du corps Sushun POURCENTAGE D'INTELLIGENCE : 70% |
Physique ...
| CARNATION : Extrêmement blanche TAILLE : 1m68 CORPULENCE : 56 kg CHEVEUX : Très long et châtain YEUX : Noisette SIGNE DISTINCTIF : Il porte toujours une paire de grelot avec lui. |
I am ... I was ...
CARACTERE: La lumière s’allume et tu es là, penses-tu vraiment pouvoir te cacher derrière ton impassibilité ? Cette expression neutre sur ton visage qui énerve tant de monde et qui me ravit tellement, tenant les personnes à distances… mais tu en as pas besoin, de ces autres.
Ces personnes que tu ignores si bien, ne créant aucun lien et aucune conversation. Ah si, parfois il t’arrive de les écouter, mais pas très longtemps. « Toutes mes condoléances » n’es-ce pas ? J’aime cette phrase, si pleine de sens et passionnante. Et en parlant de passion, combien de personnes aiment tes gestes déplacés envers eux quand tu leur adresses enfin un mot ? Combien de gifles t’es-tu déjà pris ? C’est si amusant. Mais tu n’as pas besoin d’eux, pas besoin qu’ils te comprennent, je suis là moi. Tapis dans l’ombre, tu te souviens ? Bien sûr que oui.
Cette logique particulièrement raffinée qui te complaît un peu plus dans l’incompréhension… mais dans ce monde de fous, tu ne dépareilles pas au moins. Cela te fait éviter les détours, je ris, mais tu ne l’entends pas. Evidemment, derrière cette épaisse vitre, personne ne m'entends.
Je te reproche ta loyauté… à quoi te sert-elle ? Cette chose si futile. Tu es une bête, ton cœur ne doit aller à personne voyons. Sauf à moi bien entendu, je suis ton maître, tu es un simple étranger ici. C’est douloureux tu sais… Cet étrange soleil que tu cache derrière toi comme un bien précieux. Es-ce seulement à elle que va ta loyauté ? Cette petite sœur que je ne connais pas ?
Une franchise à toute épreuve, envers et contre tous et sans la moindre émotion de surcroît. Voilà qui est plaisant. Du moins, quand tu ne choisit pas le silence le plus total et qui m’exaspère quelque peu. Soit plus cruel avec les autres, ne cache pas ce que tu ressens derrière ce masque de froideur et ce mutisme. Dit leur cette vérité qui ne concerne que toi, éloigne-les. Viens avec moi. Change donc de direction, vers dans les ténèbres, plonge dans les ombres… Rejoins-moi.
Inattentif ▬ Tactile mais Inexpressif ▬ Logique (?) ▬ Loyal ▬ Franc ▬ Froid POUVOIR: L’habilité de Camille réside dans le fait de pouvoir modeler la matière noir pour la transformer en arme. Cependant, plus l’arme est grande, plus elle sera fragile et se cassera facilement. Il ne peut pas tenir aussi une grande épaisseur de matière noir sur une longue arme. Par exemple, une longue lance sera difficile à produire et s’éclatera au moindre impacte avec une innocence. De plus, l’arme qu’il peut créer ne peut pas être très grande car plus elle sera concentré en matière noire, plus elle sera instable et sera susceptible de lui exploser au visage, en plus de l’épuiser totalement. Il ne peut donc tenir ses armes que pour un temps limité.
De ce fait, il préfère « faire » des épées courtes, plus solide à l’impact, dégradant la cible, car il s’agit en fait qu’un concentré de matière noire ou bien des petites dagues qui s’effritent au contact de la cible et dont la matière noir se dilue dans la blessure ainsi crée.
Il ne peut toutefois pas créer d’arme de jet comme des pistolets ou des arcs. Enfin, sur la forme oui, mais il ne pourra pas tirer avec, seulement tenter d’assommer tout au mieux. Et puis, ses « créations » ne sont pas assez précises pour pouvoir faire une arme de ce type.
HISTOIRE: Tu te souviens de mon nom ? Bien sûr que tu t’en souviens, elle est marqué dans chacun de tes traits, sur chaque parcelle de ta peau… a chaque fois que tu te croise dans le miroir. J’étais Sushun, un des héritiers d’une des grandes familles nobles vietnamienne à présent éteinte. Maintenant je suis mort mais toi, tu reste moi. Et ce, malgré tout les efforts que tu pourra faire pour l’oublier. Je ne te laisserais jamais l’oublier, tout est de ta faute !
Tout est arrivé un soir, ce soir d’automne où notre fabuleux père est venu chez ma mère, toi dans ses bagages alors qu’il venait de divorcer de sa femme. Vraiment, tu aurais dû voir ta tête quand tu as apprit que la raison de l’explosion de ta petite famille bien rangée et parfaite était moi… du moins, ma naissance… Une trahison de vingt ans. Il n’aurait jamais du revenir auprès de ma mère… Jamais… alors qu’il s’était adonné au plaisir d’une jolie allemande peu après ma naissance avec laquelle il était déjà marié avant de connaître ma mère. Les occidentaux… tous des traîtres.
Laisse-moi te dire, tu représentais tout ce que je détestais. Tu avais une sœur jumelle que tu aimais… et qui t’aimais. Vos courriers permanents échangés m’agaçaient. Tu prenais souvent ses lettres… celle de ta sœur… Thaïs si je me souviens bien, et tu faisais toujours le même rituel. Tu allais sous le grand arbre de notre jardin… Mon jardin ! Bien tu t’asseyais sur l’une des grande branche et tu lisais, le sourire au lèvre. Ce sourire que tu ne m’as jamais accordé… jamais alors que j’étais ton frère aîné. Tu m’ignorais pour te venger de ton père et de la séparation avec ta sœur mais moi, moi je n’y était pour rien ! Je n’y était pour rien… et j’étais si seule dans cette grande chambre… Cette chambre que je ne pouvais quitter à cause de cette stupide maladie…
Alors, un jours, ma mère, douce et si aimante, t’avais obligé à me tenir compagnie. Tu m’avais lancé un de ces regards… à croire qu’après des mois passé dans ma maison, tu ne savais toujours pas que tu avait un demi-frère ! Comme si j’allais croire une chose pareille !
Depuis ce jour, tu passais toute tes journées dans ma chambre à me lire des histoires. Tu ne m’écoutais même pas quand je te disais de partir, toi qui n’était qu’un étranger… toi qui était arrivé porté par un bagage que notre père avait récupéré car même ta mère ne voulait pas de toi. Parce que tous les garçons étaient des menteurs et des tricheurs. Et toi aussi tu l’étais, j’en étais certain.
Tiens, cela me rappel le moment où tu as compris que j’étais un garçon. Tu étais tombé de ta chaise de surprise, tu ne savais pas que chez les nobles du Vietnam, les garçons s’habillaient en fille quand ils étaient jeunes. En faite, tu ne savais rien de nos coutumes et pourtant, tu imposais ta présence d’étranger. Et tu avais osé me demander pourquoi je m’habillais pas en garçon maintenant… comme si je pouvais faire cela à ma mère, alors que me voir comme ça lui donnait l’impression que je vivrais plus longtemps. Enfin, j’avais déjà tenu jusque là… ce qui était déjà un miracle.
Enfin, ce qui devait finir par arriver, arriva. Ceux qui avait décidé de purifier le noble sang vietnamien de ces traîtres. Notre père, ma mère… et toi. Ils avaient fait cela en silence une nuit, mais je les avaient vu. C’était la pleine lune après tout. J’aurais pu vous avertir… mais je ne l’avais pas fait. Ils n’avaient même pas pris la peine de me tuer moi, qui avait du sang sale et étrangers dans les veines, jugeant que, de toute façon, je mourrais bientôt sans y être aidé. Je me retrouvais donc avec trois corps inertes… seul.
Cette nuit-là, je m’étais levais de mon lit pour aller te rejoindre. Pour te voir salis de sang et je te maudissais. Je te maudissais car je te haïssais de tout mon être, toi qui avait eut la vie devant toi et qui était mort stupidement. Alors que je t’avais dit de partir, que ce n’était pas un endroit pour toi, d’aller rejoindre ta sœur ! Mais tu ne m’avais pas écouté, tu m’avais répondu que tu aurais fait un mauvais frère et que ta sœur ne te pardonnerais si tu m’abandonnais pour la rejoindre. Pourtant, tu avais tenue parole et tu ne lui avait pas une seule fois parlé de moi dans tes lettres. Tu m’avais pourtant promis de me la faire rencontrer un jour…
Menteur… menteur… Menteur ! Toi qui restait dans ma chambre et qui me lisait les lettre de ta chère moitié, ta sœur jumelle. Toi qui m’avais enfin offert le sourire que tu ne faisait avant qu’à ses lettres. Toi qui te tenait éloigné de tout le monde, sauf de moi. Toi qui disait que tu allais m’emmener voir ta sœur, loin de cette chambre. Tu étais comme ton père, un menteur ! Tu m’avais mentis… et tu avais mentis à ta sœur en lui disant que vous vous reverriez bientôt maintenant qu’elle était loin de sa mère, de votre mère.
Je te hais… toi le responsable de mes larmes que je pensais déjà taris depuis longtemps…
Puis un étrange clown avec son gros ventre est venu, il a dit qu’il pouvait te ramener. C’était louche… très louche… Mais je m’en fichais. Même si tu devais revenir en démon, tu le méritais. Même si cet étrange squelette de corps devait être le tiens à jamais. Tu méritais de souffrir pour avoir mentis !
Menteur ! Menteur ! Menteur !
Quand ton nom c’était marqué sur son crâne, que l’étrange homme te disait « bonne anniversaire » de sa voix agaçante… tu m’avais dévisagé, je suppose… c’était débile, tu n’avais même pas d’yeux sous cette forme.
Tu m’avais traité ensuite d’idiot, que c’était bien mon genre de faire confiance à un type louche. Puis il t’avais ordonné de me tuer et prendre mon apparence… De toute façon, j’allais bientôt mourir… Alors pourquoi tu t’étais excusé en me tuant ? Les démons et les menteurs ne pleurs pas. Idiot.
Ma dernière pensées fut qu’au moins, tu tiendrais peut-être enfin ta promesse dans cette nouvelle vie. Si tu voyais ta sœur, c’était un peu comme si je la voyais moi aussi… Retrouves-là vite… Sale menteur de petit-frère.
And in real life ?
| PRENOM: Lavi AGE: C'est vraiment terminé l'inquisition espagnol... AVATAR: Fuuchouin Kazuki de Get Backers TU FAIS DU RPG DEPUIS LONGTEMPS ? Hum... sept ans environs COMMENT TU AS CONNU LE FORUM ? En traînant de partenaires en partenaires UNE QUESTION, SUGGESTION ? Ecrire ici Code: Validé par Allen |
Fiche créée par Madouce pour Epicode, ne pas retirer le copyright