Take a bread, take some jam and be a cool guy. Yep.

Jógvan Olsen !

« Haha. How could anyone dislike a face as friendly as mine ? »

AGE : 23 ans ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuel, mais avec un léger penchant pour ces messieurs. CAMP : Congrégation de l'ombre METIER : Exorciste INNOCENCE : White Reaper - Équipement

Physique ...

CARNATION : Scandinave ou peau très claire qui se fait facilement cramer par le soleil. Vilain. TAILLE : 1m83 CORPULENCE : Fine, mais ça tient la route. CHEVEUX : Blonds très clairs et cendrés, à la limite du mi-long. Frange un poil trop longue, rabattue sur le côté droit - quand ça veut bien tenir. YEUX : Bleus SIGNE DISTINCTIF : Si on admet que les cicatrices sont assez courantes, on pourrait dire... Son sourire d'enfoiré ? Sa tête à claque ? Dans le fond, il reste assez préservé, le norvégien.

I am a little sh*t, u'know ?

CARACTERE: Aux premiers abords, beaucoup décriront Jógvan comme un mec calme, souriant et fort sympathique. Il est assez rare de voir le norvégien s'emportait pour une petite raillerie ou  une simple insulte. Généralement, il cache toute frustration derrière un sourire angélique, parfois moqueur. Certains pourraient être déstabilisés par cette attitude, semblant prendre n'importe quelle situation avec légèreté. Disons qu'au moins, le jeune homme sait relativiser et détendre l'atmosphère quand cela s'y prête. Il est plutôt social et blagueur. Discuter en sa compagnie n'est pas une chose bien difficile. Il n'est ni timide, ni pudique.

Bien que ce sourire qu'il arbore continuellement soit des plus sincères, il arrive des fois qu'il ne s'agisse là que d'un simple masque ou d'une barrière pour le séparer un minimum des personnes qui l'entourent. Agréable et poli, Jógvan se montre aussi bien plus méfiant qu'il n'y paraît. Il ne se repose que sur peu d'individus, qui peuvent se compter sur les doigts d'une main. Bien qu'il ne soit pas désagréable de travailler en équipe avec le sniper, il vous faudra bien du temps pour gagner sa confiance et sa réelle attention. Après tout, Jógvan n'est naïf que d'apparence. Dans le fond, il est un tantinet fuyard et préfère la facilité.

En raison de ses mois d'entraînement avec la maréchale Nine, Jógvan s'est approprié quelques mauvaises habitudes. Tout d'abord, l'exorciste peut se montrer hautain et arrogant, sans forcément le vouloir. Son second degrés particulier, son visage toujours joyeux et sa voix mielleuse pourraient en irriter plus d'un. Cet orgueil plus naturel qu'intentionnel, lui apporte souvent du mépris. Mais fidèle à lui-même, le blondin passe bien au-dessus des regards et accueille toute remarque et critique avec le plus beau des sourires - ce qui n'arrange pas forcément les relations les plus enflammées. Un conseil : n'entrez pas dans ce genre de jeu, il saura toujours en tirer partie.

Par ailleurs, on peut noter aussi que le jeune homme est accro' à son hygiene de vie et à la perfection. Encore un joli cadeau de la maréchale... Jógvan aime prendre soin de son apparence, de ce qu'il mange, mais aussi et surtout : adore le travail bien fait. Quelque chose de difforme le grattera, tandis qu'une petite imperfection le perturbera. Fort heureusement, lors des moments critiques, son calme prend le dessus, lui épargnant ses pensées stupide et lui permettant de se concentrer sur les combats et les objectifs. En revanche, ce qui est assez contradictoire, Jógvan aime flirter avec la procrastination, remettant toujours son travail perso' au plus tard possible.

Vous voulez l'appâter ? Voici quelques aides précieuses qui vous serviront toujours. Offrez-lui de la brioche et une confiture au fruit ou bien une bière de premier choix, il sera à vos genoux. Posez un petit minou dans son champ de vision, il oubliera tout pour venir le câliner, le prendre dans ses bras et lui presser ses petits coussinets d'amour. Sinon, optez plutôt pour faire son ménage et il fera tout ce que vous voulez. Ou au pire... Restez vous-même et ça se passera bien.

Vous souhaitez le faire décamper ? Préférez plutôt une bonne odeur de fromage fondu ou un bon rhume des foins. Une fois malade, vous pouvez être sûr que Jógvan ne vous approchera que s'il vous en veut personnellement - un hypocondriaque modéré si vous préférez. Les blessures, ça va, les maladies virales, c'est moins fun.

HISTOIRE: Jógvan était originaire de Bergen, une ville bordant l'Atlantique au Sud-Ouest du territoire norvégien, aussi bien connue pour ses importants incendies que pour ses pluies éternelles. Il y avait passé son enfance, ainsi que son adolescence, entouré de ses proches : un père ouvrier, une mère au foyer et deux petites chipies en guise de sœurs.

Contrairement à ses parents, le jeune garçon bénéficia de sept années d'école durant lesquelles il apprit à lire et à écrire, mais aussi acquit des connaissances en mathématiques et en sciences naturelles. Il était bien heureux d'avoir dépassé le statut de gueux. Les travaux manuels de dernière année le formatèrent à son futur poste : celui d'un simple ouvrier, coincé entre les quatre murs d'une usine et destiné à enchaîner les journées de 14 heures. Jógvan commença à travailler à l'âge de 13 ans, baignant dans la douce odeur de fumée et d'huile de coude.

Suite à la demande d'indépendance du peuple norvégien, les relations des royaumes de Norvège et de Suède s'étaient effritées. Afin de parer à une éventuelle attaque suédoise, le gouvernement rassembla la jeune populace au sein de son armée. Le service militaire approchant à grands pas, Jógvan ne fit pas l'exception. Ainsi, crâne rasé, entraîné, arme à la main et prêt à défendre son pays, sa carrière de bon soldat malgré lui débuta à la veille de ses 17 ans.

Un an plus tard, on lui reconnut le talent de tireur et il fut affecté à la section des snipers, sa nature calme et ses yeux perçants y aidant beaucoup.

Au cours des premiers mois, une rumeur vint tomber dans l'oreille de Jógvan ; l'existence d'une arme somme toute étrange et impossible à manipuler. Sous les formes d'un vieux fusil usé, l'arme avait été récupérée sur un champ de bataille en Russie. D'après le mythe qui s'était formé autour de l'objet, quiconque osait l'approcher de trop près recevait une violente décharge électrique. Cette dernière ne tuait pas, mais elle dissuadait les plus curieux. Le malheureux l'ayant ramassé, par ailleurs, aurait perdu l'usage de ses deux bras, paralysés à vie. Autant dire que pour la plupart des soldats, cet objet était très bien dans sa caisse poussiéreuse.

Cependant, Jógvan n’accrochait pas à cette histoire à dormir debout. Bien que ce fut involontaire, il appuya ses propos après une soirée bien arrosée et un pari idiot en brandissant l'arme devant ses compatriotes. Les traitant ouvertement d'imbéciles, le sourire aux lèvres, le jeune homme ignorait bien dans quelle situation particulière il venait de s'embarquer. Par ailleurs, depuis cette fameuse soirée, une tempête de neige sévissait sur le campement militaire et semblait être sans fin. Les éléments naturels ne semblaient pas leur être favorables... Encore fallait-il que ceux-ci soient réellement naturels.

Finalement, le fusil se révéla être assez particulier. Son côté mystique reposait plus sur les balles fantômes que sur l'arme en elle-même. Jógvan n'avait pas besoin de recharger manuellement, un simple signal tel que "bang" ou "feu" suffisait à transpercer la cible d'un tir net et précis, malgré le climat peu avantageux.

D'autres snipers voulurent tenter à leur tour, mais à part un vilain coup de jus, ils n'eurent rien de plus. Les curieux se faisaient de plus en plus nombreux dans la section et des regards oppressants se tournaient vers Jógvan. Le sniper que se sentait continuellement observé... N'était-ce pas là un comble ?

Il fallait bien se l'avouer, lorsque la vérité éclata au grand jour, le nordique était l'homme le plus paumé du monde.

Semblant péter un plomb, un soldat vint agresser soudainement Jógvan, alors qu'ils ne faisaient que se croiser. La chose se démantela la mâchoire afin d'en sortir un fin cannon pointé sur sa victime. Les yeux étaient devenus rouge sang et un pentacle noir se grava sur son front. Jógvan ignorait que cet homme aux allures de machine était en réalité un Akuma.

Par réflexe de survis, sûrement, Jógvan tira plusieurs fois, ôtant la vie à son agresseur. Murmurant des paroles qu'il ne comprenait pas, le corps mourant au regard haineux s'évapora pour ne laisser derrière lui qu'un amas de cendres. Sous le choc, le jeune homme ne repéra pas ce deuxième Akuma qui s'apprêtait à l'éliminer. Trop tard.

Un grand singe sortie de nulle part l'intercepta et le réduisit en miette sous les yeux ébahi de Jógvan. Une dame forte charmante et au visage sévère, vêtue d'un épais manteau de fourrure fit son apparition. Le singe devint alors tout petit et grimpa sur l'épaule droite de sa maîtresse...

Après une petite série d'adjectifs peu honorables à l'égard du norvégien, la femme à la cicatrice déclina son identité : Cloud Nine. Ne parlant pas un mot d'anglais, Jógvan ne comprenait rien à la conversation qu'entretenaient l'inconnu et son commandant. Sans avoir son mot à dire et sur présentation d'un symbole métallique accroché à l'uniforme de la jeune dame, il fut décider que le jeunot passerait sous l'aile de la maréchale et quitterait l'armée... A 19 ans et des poussières. La tempête de neige se serait arrêtée suite au départ de Jógvan.

Encore un kidnapping. A croire que c'était devenu une habitude de réquisitionner les personnes sans autorisation de leur part... Bye-bye Bergen. Bye-bye l'usine. Bye-bye la famille... Jógvan ne les reverrait peut-être plus jamais.

Après avoir acquis des connaissances sur les Akumas, son arme et surtout, sur la langue de Shakespeare, Jógvan entama son voyage vers la congrégation de l'Ombre. S'en suivit alors la longue série d'examens auquel devait s'atteler tout exorciste. C'était long et très... Spécial. Par la suite, il eut sa petite chambre à lui, qui lui rappelait que ses proches étaient désormais bien loin. Régulièrement, il leur envoyait des lettres. Parfois il avait des retours, parfois non.

Les années passèrent, les missions aussi. A son tableau de chasse, Jógvan avait participé à la collecte de trois nouvelles innocences pures. White Reaper connut d'ailleurs une évolution bénéfique.

Lors de la chasse aux maréchaux, le jeune homme partit à la recherche de sa maîtresse -uhuh- en compagnie de trois autres exorcistes. Malheureusement, Jógvan fût le seul survivant et rentra bredouille. Depuis lors, les événements s'enchaînaient sans forcément que le blondin ne chercha à les comprendre. Comme à l'armée : un ordre était un ordre, les exorcistes n'étaient que de dociles toutous.

And in real life ?

PRENOM: Appellez-moi Cali, ça me va. AGE: 20 ans d'apparence, beaucoup moins dans la caboche ! AVATAR: Shinya Hiragi (Owari no Seraph) TU FAIS DU RPG DEPUIS LONGTEMPS ? Oula... COMMENT TU AS CONNU LE FORUM ? Un coup par un partenariat, l'autre coup grâce à Google. DGM me manque. La nostalgie c'est bien ! UNE QUESTION, SUGGESTION ? Pour le moment, non. Je toquerai à votre porte si nécessaire. Code:  Validé par Allen

Fiche créée par Madouce pour Epicode, ne pas retirer le copyright

White Reaper, activation !

« Qui a dit que tous les minous étaient mignons ? Bah, moi. »

AGE AUQUEL IL/ELLE DEVIENT EXORCISTE : 19 ans ROLE DANS LA CONGREGATION : Exorciste TYPE D'INNOCENCE : Équipement TAUX DE SYNCHRONISATION : 84% (actuellement) NOMBRE D'EVOLUTION : 2 SIGNE DISTINCTIF : C'est un... Fusil ? Donc c'est grand. Donc ça se voit. Donc c'est impossible à cacher, même sous la veste.

And...

APPARENCE PHYSIQUE + EVOLUTIONS: Pour être simple, pour être bref, White Reaper est un fusil. Juste un fusil. Oubliez un peu la dame blanche, elle, c'est réellement un mythe. L'appeler trois fois dans les toilettes ne fonctionne pas.

L'Innocence n'a pas été trouvée pure et on ignore comment et pourquoi elle s'est logée dans un ancien fusil de chasse, il y a de cela plusieurs décennies. La première fois que Jógvan l'a vu, l'arme était usée et dans un état lamentable. Le simple fait qu'elle fonctionne sans accro relevait du miracle. Hormis quelques gravures d'un vert métallique, le fusil ne semblait pas différent des autres. Une fois à la congrégation l'arme eut le droit à un petit coup de neuf. Non pas une évolution, mais quelques réparations. Comme neuve, elle était plus simple à manipuler.

Lors de deuxième forme - ou sa première évolution, si vous préférez - Death Reaper s'affina et devient plus légère. Plus facile à manier, il est dorénavant possible de tirer tout en bougeant. L'arme s'est aussi allongée par le biais d'une baillonette accrochée au bout du canon. Ventre à terre, elle permet de stabiliser l'arme. Au milieu des conflits, elle peut brièvement trancher et être servie d'épée de fortune le temps d'un éventuel replie. Le fusil est peint d'un noir sombre mettant en valeur les quelques gravures vertes qu'elle possède. Parmi cette dernière, on peut noter deux croix chrétiennes sur les deux flans du fusil. Il n'y a pas de réelle différence entre l'état de sommeil et l'activation de l'Innocence, si ce n'est peut-être l'apparition d'une aura entourant l'arme.

POUVOIR:
NIVEAU 1 : White Reaper n'a d'exceptionnel que ses balles. Le fusil ne se recharge que grâce à la volonté orale de l'hôte. Les balles tirées pénètrent le corps de l'adversaire, sans en ressortir. La cible explose de l'intérieur, à cause du contact direct entre l'Innocence et l'organisme interne de la machine. Un ou deux tirs peuvent suffirent à achever un Akuma de niveau 1. Les limites se font ressentir pour les Akumas de niveau 2.

NIVEAU 2 : Suite à l'évolution radicale de son arme, Jógvan est désormais en mesure de tenir face à plusieurs Akumas de niveau 2, voire un ou deux de niveau 3. Spécialisé dans le combat à distance, Jógvan est rarement en première ligne ou directement dans les conflits - ce qui lui vaut souvent le statut de lâche de la part de certains coéquipiers. Pourtant, bien loin d'être un simple froussard, Jogvan assure essentiellement les arrières des combattants et la sécurité d'humains impliqués. Il est utile de préciser que de toutes manières, le jeune homme n'est pas très doué en combat rapproché. Il survit, enfin il essaye.

Pour être plus précis, concernant l'arme en elle-même, elle a acquit une amélioration offensive et une compétence défensive intéressantes.

Petite nouveauté, l'Innocence une fois activité entoure Jógvan d'un voile permanent. Le jeune homme masque alors sa présence aux ennemis les plus éloignés. Néanmoins, plus l'Akuma se rapprochera, plus il sera en mesure de le démasquer. S'il se trouve à moins de 20 mètres, le voile ne fait plus effet sur la créature. Jógvan peut masquer la présence d'une dizaine de personnes selon ces critères - à ne pas confondre avec un bouclier !

Pour les tirs, le principe de base reste toujours le même. Jógvan annonce son intention de faire feu, une balle apparaît et est propulsée en dehors de l'appareil. En revanche, cette dernière peut se diviser en trois et ainsi, toucher plus d'ennemis. A défaut de faire exploser les Akumas de haut niveau, l'impact gèle progressivement la cible, l'handicapant fortement.

Un autre tir particulier, que Jógvan ne peut malheureusement pas se permettre d'utiliser continuellement, invoque White Reaper. La balle prend la forme d'un grand tigre blanc, enveloppée de flamme bleue. La créature se rue sur plusieurs Akumas d'affiler, les trouant à son passage ou gelant les plus robustes. L'esprit bestial disparaît au bout d'une trentaine de secondes maximum. Jógvan n'est en mesure d'en invoquer qu'un seul à la fois et chacun de ses tirs requiert beaucoup d'énergie et de concentration. Généralement, Jógvan utilise cette attaque pour achever le camp adverse et éviter de se faire piéger par la fatigue.

Fiche créée par Madouce pour Epicode, ne pas retirer le copyright